Tétêche Folk Newsletter n° 2 Août 2014

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Bilan

 

Les vacances touchent à leurs fin ; c’est peut-être le moment de dresser le bilan de nos ateliers de danses folk. Depuis mars, quatre ateliers ont déjà eu lieu, toujours le second vendredi du mois. Michel Thiriart, notre maître à danser, a déjà abordé pas mal de danses que l’on peut pratiquer  dans les bals folk : les danses de couples (valses, mazurka, polka et scottish), mais aussi des danses communautaires comme les cercles sicilien et circassien, la gigue. Aussi une série de danses régionales : bourrées du Berry et d’Auvergne, andro et gavottes de Bretagne, les valses anglaises et écossaises, sans oublié les standards wallons : li tchèron, l’arèdge de Malempré, la maclote de Steinbach etc.

 

A partir du mois d’avril, deux  musiciens habitant Profondeville se sont joints à moi pour livrer une musique plus variée, plus vivante. Il s’agit de Maurice Courtois (mandoline) et de Michel Grégoire (guitare).

 

Les soirées se passent dans la bonne humeur : pas question de performance ; il s’agit tout simplement de passer deux heures agréables sans se prendre la tête. Chaque fois, entre 20 et 30 personnes ont répondu à l’appel. Un bar avec des bières spéciales et du vin est à votre disposition.

 

Le 22 juin, un dimanche après-midi, nous aurions voulu fêter dignement la musique, mais, le public s’est très peu manifesté et pour cause : d’une part un temps magnifique qui en a sans doute tenté plus d’un de rester à la maison et de profiter de la nature et, d’autre part, la match de coupe du monde Belgique-Russie. Cette occasion nous a tout de même permis de répéter notre répertoire et de danser sur quelques morceaux.

 

 

Avenir

 

Les ateliers de la Tétêche reprendront selon le même principe après les vacances d’été : le vendredi 12 septembre. Les dates suivantes : 10 octobre, 14 novembre, 12 décembre, toujours à 20 heures 30. Nous garderons le principe de la gratuité de l’activité.

Nous envisagerons aussi d’organiser une répétition par mois. Ça sera, les jours d’animation, à 19 heures. Les musiciens qui souhaitent venir grossir les rangs du petit groupe, sont les bienvenus. Un fichier PDF avec les partitions des morceaux déjà abordés est disponible : je peux vous l’envoyer par mail sur simple demande.

 

Donc, pour les musiciens, rendez-vous à la Tétêche le vendredi 12 septembre à 19 heures.

 

 

D’où vient le nom de la salle : « La Tétèche » ?

 

Une jeune fille de Burnot, Tétêche Pauquin, aimait un jeune Profondevillois, Guillaume Lauthin. Mais leurs sentiments réciproques ne rimaient pas aussi bien que leurs noms de famille. Or, Tétêche avait son idée. Elle eut recours aux offices de Notre-Dame de la Pierre à l’Image. Tétêche venait la prier ostensiblement de toucher le cœur de Guillaume. Celui-ci n’était pas sans avoir compris. Caché un jour derrière la Pierre et contrefaisant la voix fluette de l’Enfant-Jésus, il dit ironiquement dans son patois de Profondeville, à Tétêche, en prière :

 

«  Tétêche Pauquin, ne pleurez nin, Guillaume Lauthin vous ne l’aurez nin ».

Mais Tétêche, fine mouche, répartit doucement, sans sourciller.

 

« Taisez-vous, Petit Jésus, vous ne savez pas ce que c’est ; laissez parler votre Sainte Mère, elle est plus âgée que vous ».

 

Cité par Jacques Monbaerts dans « A Profondeville, en parlant de la Meuse, des gens, des bêtes et des choses » – Editions Héraldy – 1947

 

 

Toutes ces activités ont lieu en collaboration avec le CAR  (Comité d’Animation de Rivière) et le soutien de l’Echevinat de la Culture de Profondeville.

 

Salle « La Tétêche », chaussée de Dinant 180 à Rivière (premier étage).

 

 

Renseignements :

 

Jean-Pierre Wilmotte :

0494/76.09.28

tetechefolk@gmail.com  

« De nos Villages » en 14-18 Exposition du mois d’août 2014 à la Galerie à Arbre (Profondeville)

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La guerre 14-18 sur dix « Roll-Up », des panneaux de deux mètres de haut sur quatre-vingts centimètres, qui expliquent chronologiquement de façon didactique et illustrée le déroulement des événements « De nos villages » en cette période.

Une foule d’objets vous montreront aussi ce qui existait il y a cent ans. Cela va du gramophone au téléphone, mais aussi des vêtements et des outils, un appareil photographique et des photos, de nombreux livres, des cartes postales et des affiches de propagande. Que dire d’une moto et d’un moteur d’époque…

Mais il y aura aussi casque à pointe, grenade poire, un « écorché d’obus », des décorations et des objets artistiquement décorés et très émouvants fabriqués par les soldats dans les tranchées ou les camps de prisonniers.

 

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4e BROCANTE de LUSTIN

4e BROCANTE de LUSTIN.

Venez alléger vos greniers et découvrir l’ambiance sympathique, animée et chaleureuse de cette 4e grande brocante de Lustin (village), le 31 août 2014 de 8h00 à 18h00 sur la plaine des sports (près du local de la plaine anciennement Balle pelote)

Les bénéfices réalisés par le stand « Asmae », la petite restauration, les boissons et la location des emplacements seront entièrement versés à l’Association Asmae, Sœur Emmanuelle, pour l’enfance défavorisée.
Réservations des emplacements : 0472/46.61.48
Ou @ : lustincoupdepouce@gmail.com

 
Appel à votre générosité
L’association Lustin-Coup de pouce est à la recherche de lots pour leur tombola et également de petits lots pour enfants pour distribuer lors de la pêche aux canards.
Vous pouvez les déposer
soit chez Lydia Macor (tél 0472/40.21.49)
ou soit chez Catherine Jacques (tél 0472/46.61.48)
Pour une bonne organisation, merci de téléphoner avant.
 
 
 
Evénement organisé par « Lustin-Coup de pouce »

Exposition de juin à la Galerie d’Art’bre

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Alexandre Forceille

Ce tailleur de pierre est né à Namur dans un pays de carrières, au cœur même de la pierre. Il vit à Bertrix, dans la Province de Luxembourg où il se consacre totalement à cette fascinante activité.

Alexandre Forceille est autodidacte mais puriste, à la fois artisan et artiste, il produit des objets usuels, des lampes, des fontaines où il associe avec bonheur la fluidité de l’eau et la dureté de la pierre. Il se prête aussi à la création d’œuvre monumentale. Certaines sculptures ne sont qu’abstraction géométrique mais si harmonieuses en dépit de leur dépouillement. Elles s’éloignent davantage d’éventuelles significations apparentes, pour laisser aux spectateurs toute liberté d’interprétation.

Coupées, taillées, martelées, burinées, fraisées, lissées, polies dans des blocs de pierre bleue ou, plus rarement, dans du marbre blanc, toutes ces projections sculpturales du génie de l’artiste interpellent. Alexandre Forceille n’hésite pas  de laisser des parties brutes ou à peine travaillées dans une roche dont l’œuvre n’en finit pas de naître. L’imagination des formes et des dimensions n’a pas de limite, ni une quelconque difficulté à susciter ici la tendresse, l’émotion, ou à engendrer ailleurs une esthétique tranchante, pure et dure.

Rien de superflu chez Alexandre Forceille. Il se livre à un véritable corps à corps avec la matière vivante. Il la scrute, la découvre jusque dans ses moindres secrets. Plus il polit, plus l’âme et la vie se révèlent. Avec les meules et disqueuses, il dégrossit l’œuvre. Avec le burin, il tambourine, sclippe, lisse, cisèle et boucharde la pierre. Avec détermination et précision, l’artiste nous offre la beauté originelle de la pierre, dans un univers dépouillé de tout artifice.

 Alexandre Forceille livre au regard le fruit d’une connivence avec la matière.

Julie

Pseudonyme de Rita Lannoote, née à Werwik en 1954. 

Julie est et reste avant tout une artiste autodidacte. Elle est toujours partante, battante et volontaire. Elle s’est mise à peindre pour exprimer ses révoltes, ses craintes, ses douleurs et ses joies qu’elle puise dans la vie quotidienne. La peinture lui permet de laisser tomber le masque que les aléas de la vie nous imposent… avec le temps !

Les toiles sont devenues des témoins d’états d’âme de l’artiste ; elles laissent une part de rêve, d’imagination et d’espérance à partager. Considérant qu’il est plus facile de s’exprimer par les couleurs que par les mots, elle transmet dans chacune de ses œuvres un message de sa philosophie, tantôt vive, tantôt sauvage et expressive, parfois romantique et poétique, plus tard mélancoliqueIl n’y a pas de retenues, ni de contraintes, ni de lois, seulement des formes et quelques couleurs qui nous font rêver  et imaginer jusqu’à l’égarement, en sorte un support pour la méditation.

Tentée par l’art abstrait et sans cesse ramenée par la raison, elle revendique l’art qui, par sa couleur, exprime la vie, la sensibilité et le rêve… Julie peut être absente des influences des évènements de la vie quotidienne… Elle forme des images d’après ses émotions. Les figures humaines sont portées à la limite de l’abstrait comme dans un brouillard où émerge sa propre vision. Sujet et forme sont le résultat de la synthèse entre méditation et intuition car ses tableaux sont encore accentués par l’utilisation de pigments naturels, textures ou brins de «NEWS» qui donnent une notion de chaleur, un petit clin d’œil… une sorte de message vers la méditation…

« Ça bourdonne à Profondeville »

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« Ça bourdonne à Profondeville »    

 

Programme de la Semaine de l’abeille du 14 au 18 mai 2014

 

Exposition de la Fleur au Miel et biodiversité – Maison de la Culture à Profondeville

 

Mercredi 14 mai 2014 :

 

            19h00 : Inauguration – Conférence de presse

            20h00 : Conférence sur les pollinisateurs – Mr Vereecken professeur-assistant ULB

 

Vendredi 16 mai 2014

 

            14h00 : Accueil de Saint Jacques de Compostelle (Province)

            18h00 : projection du film « POLLEN » – documentaire Disney (enfants)

            20h00 : projection du film « des Abeilles et des Hommes » de Markus Imhoof

 

Samedi 17 mai 2014

 

            14h00 Atelier de fabrication d’hôtels à insectes organisé par Jean-Marc Fauville (enfants accompagnés – inscription souhaitée)

 

Dimanche 18 mai 2014

 

            9h30 –La Balade de l’Abeille en compagnie de François Hela (inscription souhaitée)

 

 

Bienvenue à tous

Activités gratuites

Infos et inscriptions au 081/420244 ou par mail : environnement@commune-profondeville.be

Exposition du mois de « Mai » à la Galerie d’Art’bre (Profondeville)

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José Binon, sculpteur
Un artiste attachant et généreux, né à Jemeppe sur Sambre en 1944. Si son premier métier était forgeron, il devint aussi archéologue et fondateur d’un musée de la préhistoire.
Il fait partie de ces créateurs aux talents multiples, il s’est essayé à la peinture, le dessin, la musique et enfin la sculpture sur pierre. Travail de longue haleine et de patience.
José Binon se joue pourtant des difficultés avec une aisance prodigieuse, car à partir des pierres massives qu’il polit ou burine, il arrive à donner à l’œuvre un éclat très personnel, une légèreté dans les formes et les volumes, une vie insoupçonnée de la pierre elle-même. Beaucoup de ses œuvres sont abstraites, pures et simples où seul compte la beauté et l’équilibre.
Si pourtant parfois des personnages ethniques naissent sous ses coups de burin, de ses pointes, bouchardes, gradines et ciseaux, c’est qu’il est passionné aussi de préhistoire et des civilisations antiques.
 
Marie-Rose Gomand, peintre
Une artiste à part entière, passionnée par la peinture, la sculpture, l’infographie, l’illustration.
Elle développe un abstrait lyrique et onirique, ses œuvres se déclinent dans une atmosphère où la poésie règne en maître. Ses travaux traduisent souvent ses émotions ressenties. 
La pratique de l’infographie a été déterminante pour sa progression car cela lui permet de faire de la recréation virtuelle toujours en mutation. Marie-Rose Gomand utilise des photos de ses peintures qu’elle retravaille en associant les deux techniques, infographie et peinture.
« Je regarde… Et mes yeux ne voient plus la réalité de l’instant…
J’écoute… Les sons s’éloignent pour un moment…
Je pense… Je suis ailleurs… Sans savoir où exactement… »
Bienvenue entre rêve et réalité, de l’invisible infiniment petit, à l’éternité de l’infiniment grand.

 

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Exposition d’avril à la Galerie d’Art’bre à Abre (Belgique)

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André DEPT 

Il dessine depuis qu’il est tout petit. A exposé à Ecaussinnes, à Morlanwelz, à La Louvière, à Mons et à Tubize. La Province de Hainaut a acquit une de ses oeuvres en 1988. Après ses humanités artistiques, il suit une formation en graphisme et est gradué en Arts Graphiques. Il a reçu plusieurs prix pour ses affiches et ses logos. André Dept, emploie la technique du pastel sec qu’il étend sur le papier avec les doigts. Les œuvres tendent vers l’abstraction tout en conservant un élément figuratif réduit au minimum. Cet élément, on le retrouve dans tous les tableaux : c’est l‘arbre.

Mais cet arbre ne procède pas du monde végétal. L’arbre est un trait d’union entre le monde spirituel et le monde matériel, il faut le voir comme un monde à part dans lequel on peut traduire tous les climats que l’on sent. Cet arbre devient le symbole du thème que l’artiste a voulu représenter, thème qui tourne autour de la position de l’individu face aux contraintes de la vie ou de la société. Mais il devient également le prétexte d’une recherche purement plastique.

Malgré l’impression de recherche esthétique qui s’en dégage, les tableaux d’André Dept sont le fruit d’une écriture pulsionnelle. Un paradoxe expliqué par la vitesse d’exécution de l’artiste. Son but est d’avoir une plage colorée qui exprime un climat, une tension, avec un minimum de signes pour traduire le sujet.

A l’occasion de cette exposition, André Dept utilise la technique du pastel sec pour interpréter aussi des thèmes qu’il aime particulièrement, comme par exemple une éruption volcanique, un Tsunami dans ce qu’ils ont de beau et d’effrayant à la fois. Certains tableaux sont aussi pour lui le prétexte de réaliser des ciels ou des reflets dans l’eau en repoussant au maximum les limites de la technicité.

 «Je vis d’une image commerciale que j’élabore pour les autres. Faire des images à moi me permet de me retrouver et de transcrire de façon plastique ce que je ne veux pas dire avec les mots. Représentatif sans figuration, abstrait sans irréalisme et symboliste sans code, mon art ne se rattache à aucune tendance moderne ni ancienne. J’ai mes images à moi. J’ai ma propre idée des choses. Je ne vois pas les choses comme elles sont. Je vis dans mon monde et je dessine d’après ma vision intérieure».

 

Myriam Cassiers

 Au cours de son apprentissage auprès d’un atelier de vitrail bruxellois et de son passage dans diverses écoles, l’Académie des Beaux-Arts de Namur, l’Insituut voor Kunst en Ambacht à Malines et de Academie voor Beeldende Kunsten Mechelen où elle poursuit sa formation, Myriam Cassiers a testé différentes techniques du travail du verre telles que le vitrail, le soufflage, le moulage, le thermoformage, etc.

Elle présente des œuvres réalisées selon la technique de la sérigraphie sur verre fusionné. Par ces techniques elle cherche à mettre en lumière l’invisible, ou si l’on veut l’âme de la matière. 

 «Un travail surprenant, au résultat inattendu. La source d’inspiration de Myriam Cassiers est partiellement puisée dans le réel, mais un réel transfiguré au final par le travail de la lumière, un réel qui se décompose au moment de la création pour se recomposer autrement, pour atteindre une nouvelle vie». 

S. Morgan – Le Wolvendael – novembre 2009

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