« Permeke entre Père et Fils » Exposition de juin 2015 à Arbre (Belgique)

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Peter Permeke, peintre.
 
Né à Mortsel en 1965. Fils de Joopie Permeke, petit-fils de John-Henri Permeke et arrière petit-fils de Constant Permeke, Peter est imprégné par l’art depuis sa naissance. Difficile de se faire une place lorsqu’on s’inscrit dans une telle lignée.
 
La seule manière d’échapper à cet engrenage semble bien de rompre totalement avec le style de ses aïeux, de créer quelque chose qui se situe à mille lieux du comparable.
Ses marines sont les réceptacles d’émotions intenses qui vont de l’extrême tendresse à la violence orageuse.
 
Mais ce sont sans doute ses visages qui présentent la plus grande originalité et constituent la véritable expression du tempérament de Peter Permeke. Ils sont apparus à la suite d’une période d’isolement, témoins d’une certaine conception du monde, d’un certain regard sur l’autre et émergence d’un style nouveau et original. Même s’ils se rattachent à la veine expressionniste, les têtes de Permeke ont une puissance et une facture qui indiquent clairement leur appartenance à l’art actuel. Pour cette multitude de gros plans presque monochromes, aux traits épais et au masque d’abord agressif, il a puisé dans les physionomies d’ouvriers se rendant à l’usine. Fatigue, tristesse, enfermement, colère parfois décomposent les visages. Sa « tribu » s’est néanmoins adoucie au fil du temp. Il n’est pas rare d’y voir apparaître un sourire, ou au moins une expression de sérénité, d’étonnement ou d’indifférence. Exploitant l’impact du grand format, Peter Permeke s’est engagé dans la voie d’une peinture psychologique et symbolique, de plus en plus colorée. Une peinture qui traduit peut-être une vision plus optimiste de l’humanité, qui se pimente d’une pointe d’humour, mais n’en conserve pas moins sa clairvoyance.
 
 
Extrait d’un texte de Didier Paternoster « Artistes & Galeries » Éditions Art in Belgium – 5 ème Édition.

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James Permeke dit Joopie, sculpteur.

 

 
Né à Bruges en 1938. Fils de de John-Henri Permeke et petit-fils de Constant Permeke, le maître de Jabbeke, il s’est installé en Espagne pour s’y consacrer totalement à son œuvre.
 
Joopie Permeke accorde sa préférence à la figure dégagée, au groupes, la mère et l’enfant, mais surtout la femme dans son état le plus pur.
Grâce à la solidité et la force de la forme, la femme rayonne mystère et conviction. De gestes résolus elle s’impose dans l’univers, trace les limites en souveraine et maîtresse. Dans ses douces rondeurs elle représente séduction et tentation, mais aussi dévouement et compréhension.
 
Le cérébral c’est la question. Pas de mimique, pas un regard, mais une pose.
L’homme, la femme, omniprésents, des êtres universels, contemplent leur propre image par le cœur et l’âme.
De ce dialogue naît l’œuvre ; de l’argile au bronze, matériaux nobles et durables, la beauté éternelle.
 
Fernand Bonneure, mars 1991.

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L’Exposition de novembre 2014 « Au hasard des rencontres » Galerie d’Art’bre

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Annie Renier  – Céramiques
 
Elle oriente son travail actuel en céramique vers un tour du monde animalier, d’un extrême à l’autre, avec, comme fil conducteur, un émerveillement pour des instants de vie de chaque individu.

Attirée depuis longtemps par le monde animal et sa sauvegarde, Annie Renier aime le représenter à sa façon. La céramique raku met en scène une colonie de manchots où chacun a sa personnalité, son unicité.

Des petits lézards aux gros éléphants, ils sont tous mis en valeur par la terre brute, colorée, cuite à haute température et rehaussées de touches d’émail noir.

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Anne-Marie Lepage  – Peintures, gouaches et photos
 
Réunion intime de ciel, mer et terre par la couleur.
Gouache ou acrylique sur papier et huile sur toile vous font voyager à travers la Baie de Somme ou dans des contrées au caractère particulier par leur couleur ou leur charme.
Les photos témoignent du passage des hommes et de ce que la nature laisse sur la plage après les grandes marées.
 

 

Profondeville, énorme succès de la Fête Autour de l’Eau 2014. Merci à toutes et tous.

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Profondeville, énorme succès de la Fête Autour de l’Eau 2014.

Merci à toutes et tous.

Profondeville Tiers Monde ASBL est une organisation de Solidarité internationale créée en 1968. Depuis plus de 45 ans, «Profondeville Tiers Monde», en partenariat avec d’autres organisations, accompagne des hommes et des femmes de pays en développement dans l’amélioration de leurs conditions de vie.

Pour Profondeville Tiers Monde, aider les gens du Sud, c’est d’abord leur dire que chacun est responsable de sa vie. On ne se résigne pas. On prend son sort en main et on se mobilise.

L’aide réside alors dans l’accompagnement, le coup de pouce que l’on peut recevoir de l’extérieur pour réaliser son propre projet de développement (appui financier, conseils, formations diverses, éducation, par exemple).

La Fête d’août 2014 se clôture par un grand succès : beaucoup de familles présentes, de grands concerts gratuits, un magnifique rallye d’ancêtres, un gigantesque VTT de 1500 participants, un quizz familial, des jeux en bois, de la restauration non-stop et plein d’autres activités. Toutes ces animations nous ont permis de récolter un très beau bénéfice. Tous les fonds récoltés sont alloués intégralement à la réalisation de nos objectifs. Grâce à l’association avec certaines ONG, les montants sont doublés voire triplés par effet de levier.

Nous sommes donc fiers et heureux de pouvoir remercier tous les Profondevillois et habitants d’ailleurs pour leur grand soutien, indispensable à une telle organisation. Nous vous disons MERCI.

L’association compte aujourd’hui quelque 20 membres permanents, tous bénévoles, qui se réunissent une fois par mois. Elle dispose de plus de 120 bénévoles pour ses activités, nous les remercions aussi chaleureusement. Si vous désirez mieux connaître nos activités, voir des photos, suivez-nous sur notre page facebook.com/profondevilletiersmonde qui est régulièrement mise à jour.

Le Comité                                                          Mail :  profondevilletiersmonde@outlook.com

4e BROCANTE de LUSTIN

4e BROCANTE de LUSTIN.

Venez alléger vos greniers et découvrir l’ambiance sympathique, animée et chaleureuse de cette 4e grande brocante de Lustin (village), le 31 août 2014 de 8h00 à 18h00 sur la plaine des sports (près du local de la plaine anciennement Balle pelote)

Les bénéfices réalisés par le stand « Asmae », la petite restauration, les boissons et la location des emplacements seront entièrement versés à l’Association Asmae, Sœur Emmanuelle, pour l’enfance défavorisée.
Réservations des emplacements : 0472/46.61.48
Ou @ : lustincoupdepouce@gmail.com

 
Appel à votre générosité
L’association Lustin-Coup de pouce est à la recherche de lots pour leur tombola et également de petits lots pour enfants pour distribuer lors de la pêche aux canards.
Vous pouvez les déposer
soit chez Lydia Macor (tél 0472/40.21.49)
ou soit chez Catherine Jacques (tél 0472/46.61.48)
Pour une bonne organisation, merci de téléphoner avant.
 
 
 
Evénement organisé par « Lustin-Coup de pouce »

Exposition du mois de « Mai » à la Galerie d’Art’bre (Profondeville)

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José Binon, sculpteur
Un artiste attachant et généreux, né à Jemeppe sur Sambre en 1944. Si son premier métier était forgeron, il devint aussi archéologue et fondateur d’un musée de la préhistoire.
Il fait partie de ces créateurs aux talents multiples, il s’est essayé à la peinture, le dessin, la musique et enfin la sculpture sur pierre. Travail de longue haleine et de patience.
José Binon se joue pourtant des difficultés avec une aisance prodigieuse, car à partir des pierres massives qu’il polit ou burine, il arrive à donner à l’œuvre un éclat très personnel, une légèreté dans les formes et les volumes, une vie insoupçonnée de la pierre elle-même. Beaucoup de ses œuvres sont abstraites, pures et simples où seul compte la beauté et l’équilibre.
Si pourtant parfois des personnages ethniques naissent sous ses coups de burin, de ses pointes, bouchardes, gradines et ciseaux, c’est qu’il est passionné aussi de préhistoire et des civilisations antiques.
 
Marie-Rose Gomand, peintre
Une artiste à part entière, passionnée par la peinture, la sculpture, l’infographie, l’illustration.
Elle développe un abstrait lyrique et onirique, ses œuvres se déclinent dans une atmosphère où la poésie règne en maître. Ses travaux traduisent souvent ses émotions ressenties. 
La pratique de l’infographie a été déterminante pour sa progression car cela lui permet de faire de la recréation virtuelle toujours en mutation. Marie-Rose Gomand utilise des photos de ses peintures qu’elle retravaille en associant les deux techniques, infographie et peinture.
« Je regarde… Et mes yeux ne voient plus la réalité de l’instant…
J’écoute… Les sons s’éloignent pour un moment…
Je pense… Je suis ailleurs… Sans savoir où exactement… »
Bienvenue entre rêve et réalité, de l’invisible infiniment petit, à l’éternité de l’infiniment grand.

 

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Exposition d’avril à la Galerie d’Art’bre à Abre (Belgique)

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André DEPT 

Il dessine depuis qu’il est tout petit. A exposé à Ecaussinnes, à Morlanwelz, à La Louvière, à Mons et à Tubize. La Province de Hainaut a acquit une de ses oeuvres en 1988. Après ses humanités artistiques, il suit une formation en graphisme et est gradué en Arts Graphiques. Il a reçu plusieurs prix pour ses affiches et ses logos. André Dept, emploie la technique du pastel sec qu’il étend sur le papier avec les doigts. Les œuvres tendent vers l’abstraction tout en conservant un élément figuratif réduit au minimum. Cet élément, on le retrouve dans tous les tableaux : c’est l‘arbre.

Mais cet arbre ne procède pas du monde végétal. L’arbre est un trait d’union entre le monde spirituel et le monde matériel, il faut le voir comme un monde à part dans lequel on peut traduire tous les climats que l’on sent. Cet arbre devient le symbole du thème que l’artiste a voulu représenter, thème qui tourne autour de la position de l’individu face aux contraintes de la vie ou de la société. Mais il devient également le prétexte d’une recherche purement plastique.

Malgré l’impression de recherche esthétique qui s’en dégage, les tableaux d’André Dept sont le fruit d’une écriture pulsionnelle. Un paradoxe expliqué par la vitesse d’exécution de l’artiste. Son but est d’avoir une plage colorée qui exprime un climat, une tension, avec un minimum de signes pour traduire le sujet.

A l’occasion de cette exposition, André Dept utilise la technique du pastel sec pour interpréter aussi des thèmes qu’il aime particulièrement, comme par exemple une éruption volcanique, un Tsunami dans ce qu’ils ont de beau et d’effrayant à la fois. Certains tableaux sont aussi pour lui le prétexte de réaliser des ciels ou des reflets dans l’eau en repoussant au maximum les limites de la technicité.

 «Je vis d’une image commerciale que j’élabore pour les autres. Faire des images à moi me permet de me retrouver et de transcrire de façon plastique ce que je ne veux pas dire avec les mots. Représentatif sans figuration, abstrait sans irréalisme et symboliste sans code, mon art ne se rattache à aucune tendance moderne ni ancienne. J’ai mes images à moi. J’ai ma propre idée des choses. Je ne vois pas les choses comme elles sont. Je vis dans mon monde et je dessine d’après ma vision intérieure».

 

Myriam Cassiers

 Au cours de son apprentissage auprès d’un atelier de vitrail bruxellois et de son passage dans diverses écoles, l’Académie des Beaux-Arts de Namur, l’Insituut voor Kunst en Ambacht à Malines et de Academie voor Beeldende Kunsten Mechelen où elle poursuit sa formation, Myriam Cassiers a testé différentes techniques du travail du verre telles que le vitrail, le soufflage, le moulage, le thermoformage, etc.

Elle présente des œuvres réalisées selon la technique de la sérigraphie sur verre fusionné. Par ces techniques elle cherche à mettre en lumière l’invisible, ou si l’on veut l’âme de la matière. 

 «Un travail surprenant, au résultat inattendu. La source d’inspiration de Myriam Cassiers est partiellement puisée dans le réel, mais un réel transfiguré au final par le travail de la lumière, un réel qui se décompose au moment de la création pour se recomposer autrement, pour atteindre une nouvelle vie». 

S. Morgan – Le Wolvendael – novembre 2009

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