Un livre racontant l’histoire du circuit de Floreffe avec toutes les épreuves motos et vélos qui s’y sont déroulées.

Bonjour,

Peut être l’ignorez vous mais entre 1925 et 1956 un grand prix international de motocyclisme a été organisé sur un circuit qui au départ du bois du Duc prenait la direction de Sart st Laurent en passant par Lesves ( Bourdon) puis descendait jusqu’aux grottes de Floreffe et remontait par le village de Buzet: il s’agit du fameux circuit de Floreffe.

En 1936 un Grand Prix de Belgique moto s’y déroula et en 1935 un championnat du monde cycliste pour professionnel y fut organisé.

Les compétitions cessèrent en 1956 après l’accident mortel du champion du monde Fergus Anderson.

Avec petit groupe de passionné nous souhaitons faire paraître fin de l’année un livre racontant l’histoire du circuit de Floreffe avec toutes les épreuves motos et vélos qui s’y sont déroulées. Pour mener à bien ce projet nous lançons un appel à toute personne ayant en sa possession des documents ( photos, articles de presse, programmes, affiches….) sur le circuit de Floreffe et qui serait disposée de nous les prêter afin de figurer dans cet ouvrage.

Merci d’avance pour l’intérêt apporté à notre demande.

Contact: Jean Louis Dumont ( 0032493-727931).ou jeanlouisdumont@hotmail.com

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Exposition du mois de juillet 2016 à la Galerie d’Art’bre

Florence Mairesse 

De fond en comble est un travail pictural ou les espaces et les objets sont privilégiés, associés avec son ressenti, soit l’ambiance qu’ils peuvent créer.

 

Allant de la cave au grenier, c’est un travail sur les coins intimes d’une maison et ses objets. Objets du quotidien, usuels, oubliés, souvenirs, tous inanimés, ne perdant pas pour autant leurs possibilités poétiques.

«Objets inanimés avez-vous donc une âme ? » Lamartine

C’est un travail ou l’on retrouve aussi une certaine accumulation, ce qui oblige le regard à s’attarder sur la composition pour y distinguer chaque chose et la nommer alors que ces même objets communs passent inaperçu dans notre quotidien. C’est une sorte de remise en ordre du désordre. 

La palette de couleurs est choisie selon le ressenti du moment et n’est souvent pas le reflet de la réalité.

 

Bernard Mairesse 

Il met la figuration au service d’une expression que caractérise un climat  particulier, quasi envoûtant, dans lequel la fiction semble se dissoudre dans la réalité. Dans des décors peints avec une minutie extrême, les personnages jouent, de manière quelque peu théâtrale ,une partition dont le caractère symbolique est laissé à l’appréciation de chacun. On pourrait situer l’ensemble de ses œuvres comme une tentative de combiner un hyperréalisme feutré à un néo-symbolisme qui n’est pas tellement éloigné des préoccupations de  plus d’un artiste contemporain.

 

Huguette Mairesse

« J’ai beaucoup de plaisir et de bonheur à suivre ces cours, à peindre et à retrouver l’odeur de la térébenthine et de l’huile. C’est pour moi une grande détente et un moment d’expression exceptionnel. J’aime  peindre la nature, jouer avec la lumière et l’eau. J’adore les grandes étendues, les espaces libres, la mer, la montagne. J’aime essayer de donner une atmosphère et de rendre l’émotion qui m’habite devant l’immensité ».

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Exposition du mois de mai à la Galerie d’Art’bre

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Claudine Levêque, collages et peintures 

 

Elle se passionne pour l’architecture du sacré et son rapport parfois grave, parfois malicieux, avec l’humain, comme cette liberté conduisant le peuple sur le dôme d’une cathédrale ou des Ganeshs qui se jouent de l’œil qui les regarde.

La technique mélange les genres. A l’image de la vie. Sur une base de carton et de papier japonais marouflés sur bois, Claudine Levêque colle ce qu’elle glane le long de ses routes : du sable, des bribes de jute, de paillettes, de photos, du papier doré, texturé, soyeux, rugueux. Tantôt le pastel domine, tantôt l’huile ou encore l’acrylique. Les cartons débordent les cadres. Les papiers deviennent tissus ou gondolent comme s’ils étaient prêts à s’envoler. Tout est couleur et matière dans une joyeuse cacophonie qui transgresse les codes de l’unité de style.

L’œuvre inspire, réjouit et questionne ce que l’Homme dit de ses rêves, de ses joies, de ses peurs et de ses espérances.

 

Michèle Haenen, sculptures et céramiques

 

Depuis plusieurs années Michèle Haenen sculpte en autodidacte, elle travaille l’argile patinée et passe à la céramique suite à une très belle rencontre avec Bernadette Michaux et Bernard Pierre.

Continuellement en recherche elle garde son sujet de prédilection, l’humain et en particulier la femme.

Michèle Haenen aime les finitions rustiques sur des formes plus épurées.

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La Galerie est ouverte tous les samedis et dimanches de 14 à 18 heures et sur rendez-vous.