Babil de Contes à la bibliothèque TaTouLu

Nous avons le plaisir d’accueillir à la bibliothèque TaTouLu une superbe animation de la Province de Namur, en collaboration avec la commune de Profondeville, 
avec 2 conteuses professionnelles: Karine Moers et Marie-Noëlle Vandermeensbrugghe.

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Ateliers d’écriture : programme – saison 17/18

SAISON 2017-2018

Ateliers d’écriture créative

CHEZ MOI, à LUSTIN

rue St Léger 39 – 5170 Lustin (accès en train possible –Ligne Bxl-Namur-Dinant)

La fièvre du JEUDI SOIR

UN JEUDI PAR MOIS

19h30-22h

60 € le trimestre – acompte de 15 €

25€ la soirée – acompte de 5 €

On se mettra à table…

Autour d’un plat qui mijote : Aller vers plus autonomie en fonction de votre parcours et de vos envies. Avec le soutien du groupe et de l’animatrice, tenter un projet mosaïque sur le trimestre ou la saison.

OU

Autour d’un plat minute : Opter pour la consigne de la soirée – OUVERT aux débutants dès 16 ans

Les jeudis 26/10, 23/11, 21/12 – 2017

Les jeudis 25/01, 22/02, 22/03 – 2018

Les jeudis 26/04, 24/05, 21/06 – 2018

N.B. Le jeudi 28/09 de 20h à 21h30 :

Pour ceux qui le souhaitent : rencontre, partage autour du travail mosaïque avant de lancer votre projet.

UN DIMANCHE pour écrire une nouvelle

5 dimanches pour  5 nouvelles

10h – 17h30

200 € pour les 5 journées de la saison – acompte de 50 €

50€ la journée – acompte de 10 €

Écrire une nouvelle par dimanche à partir des stimuli proposés par l’animatrice et le groupe. En option, relever le défi de se concentrer sur un outil de la fiction, différent à chaque fois (style, narrateur, construction, dialogue, microcosme…) en prenant le risque de sortir des sentiers battus.

Le dernier dimanche : Auberge espagnole et fiesta autour de lectures suivies de propositions sur la cuisine et la nourriture.

Ouvert aux personnes ayant une certaine pratique de l’écriture de textes courts de fiction.

Les dimanches 22/10, 26/11 – 2017

Les dimanches 25/02, 25/03, 29/04 – 2018

Un WEEK END autour d’un écrivain belge

« Je n’écris pas : il pleuvait à verse, j’écris : Maigret était trempé. » 

Les samedi 10 et dimanche 11 mars

10h à 17h30

90 € pour le W. E. – acompte de 20 €

Nous irons trinquer place Dauphine et mangerons les viandes froides de Madame Maigret. Néanmoins, il ne s’agira pas d’un week end en tête à tête avec le célèbre inspecteur. Il sera question de pluie, neige ou brouillard, sans doute, et d’atmosphère, sûrement. Mais surtout, il s’agira de convoquer des personnages. Portés par l’écriture de Georges SIMENON, nous tenterons de les cerner et de les révéler avec justesse.

Ouvert aux personnes ayant une certaine pratique de l’écriture de textes courts de fiction.

À la librairie PAPYRUS

Papyrus, rue Bas de la Place, 16, – 5000 Namur

Me contacter pour vous inscrire

Cliquez pour voir le programme :

http://www.librairiepapyrus.be/index.php/animations/205-a-lexterieur/819-23-septembre-2017-des-livres-pour-nourrir-notre-ecriture-avec-jacqueline-daussain

Je vous recommande vivement d’inscrire votre adresse électronique sur le site de la librairie Papyrus afin de recevoir leur newsletter qui vous informera de leurs nombreuses activités et ateliers.

À la biblio TATOULU à Lustin

Tatoulu, biblio Lustin, rue St Léger 35 (entrée par la rue Pépin, cour récré)

Me contacter pour vous inscrire

En janvier, février, mars : ateliers découverte pour adultes et ados à partir de 14 ans.

Infos et inscriptions :

jacquelinedaussain@hotmail.com

0474 33 88 65

Acompte à l’inscription 

Compte bancaire : BE 45 0682 4950 9689

Jacqueline Daussain
rue St Léger 39
5170 Lustin
0474/33 88 65

http://jacquelinedaussain.wordpress.com/

 

Exposition du mois de juillet 2015 « Bestiaire et Nature »

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José Robert, sculpteur. 

J’ai quelque chose à vous dire…

Enfant, je cachais sous mon lit un morceau de bois devenu corbeau ou hibou. Je cachais également dans ma chambre, bien au chaud, dans un nid de mousse, la chouette que j’avais découverte au pied d’un pylône, à qui je croyais rendre vie.

Jeune adulte, j’appris à naturaliser tous ces animaux que mon grand-père évoquait lorsque nous étions dans les champs.

Le soir venu, j’ai imaginé pouvoir garder en vie, bien au delà de la mienne, tous ces êtres, courant ou volant, qui ont peuplé mes rêves d’enfant. Je leur donne désormais une éternité de bronze.

 

Pour des raisons de disponibilité, je n’ai pu réaliser ce rêve avant l’âge de la retraite.

Mais comment révéler un art animalier, en bronze de surcroît, si ce n’est par le travail de la cire perdue, de la fonte et du ciselage du métal ainsi que sa patine finale.

 
 
Marie-Noëlle Dumont, peintre. 
 
La chaleur des pigments naturels, la recherche de minéraux, d’infinie couleurs de terre.
Cette richesse infinie et naturelle me fascine et m’anime dans une recherche incessante depuis mon enfance.
 
Comment représenter notre terre, ses habitants et ce perpétuel mouvement de la Vie?
Changement de regard, modification d’angle, variations de rythme et de lumière.
Au fil du temps, mon travail de peintre matiériste prend des chemins multiples mais toujours en admirant et respectant mon environnement.
 
Certains me partagent… « Vue aérienne, simplicité. Allez à l’essen » Ciel »
d’autres m’écrivent… » Toute la sève de la vraie Vie! »…
Vers quel « humain » l’art nous conduit il?
 Merci  pour nos futurs échanges…

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« Permeke entre Père et Fils » Exposition de juin 2015 à Arbre (Belgique)

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Peter Permeke, peintre.
 
Né à Mortsel en 1965. Fils de Joopie Permeke, petit-fils de John-Henri Permeke et arrière petit-fils de Constant Permeke, Peter est imprégné par l’art depuis sa naissance. Difficile de se faire une place lorsqu’on s’inscrit dans une telle lignée.
 
La seule manière d’échapper à cet engrenage semble bien de rompre totalement avec le style de ses aïeux, de créer quelque chose qui se situe à mille lieux du comparable.
Ses marines sont les réceptacles d’émotions intenses qui vont de l’extrême tendresse à la violence orageuse.
 
Mais ce sont sans doute ses visages qui présentent la plus grande originalité et constituent la véritable expression du tempérament de Peter Permeke. Ils sont apparus à la suite d’une période d’isolement, témoins d’une certaine conception du monde, d’un certain regard sur l’autre et émergence d’un style nouveau et original. Même s’ils se rattachent à la veine expressionniste, les têtes de Permeke ont une puissance et une facture qui indiquent clairement leur appartenance à l’art actuel. Pour cette multitude de gros plans presque monochromes, aux traits épais et au masque d’abord agressif, il a puisé dans les physionomies d’ouvriers se rendant à l’usine. Fatigue, tristesse, enfermement, colère parfois décomposent les visages. Sa « tribu » s’est néanmoins adoucie au fil du temp. Il n’est pas rare d’y voir apparaître un sourire, ou au moins une expression de sérénité, d’étonnement ou d’indifférence. Exploitant l’impact du grand format, Peter Permeke s’est engagé dans la voie d’une peinture psychologique et symbolique, de plus en plus colorée. Une peinture qui traduit peut-être une vision plus optimiste de l’humanité, qui se pimente d’une pointe d’humour, mais n’en conserve pas moins sa clairvoyance.
 
 
Extrait d’un texte de Didier Paternoster « Artistes & Galeries » Éditions Art in Belgium – 5 ème Édition.

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James Permeke dit Joopie, sculpteur.

 

 
Né à Bruges en 1938. Fils de de John-Henri Permeke et petit-fils de Constant Permeke, le maître de Jabbeke, il s’est installé en Espagne pour s’y consacrer totalement à son œuvre.
 
Joopie Permeke accorde sa préférence à la figure dégagée, au groupes, la mère et l’enfant, mais surtout la femme dans son état le plus pur.
Grâce à la solidité et la force de la forme, la femme rayonne mystère et conviction. De gestes résolus elle s’impose dans l’univers, trace les limites en souveraine et maîtresse. Dans ses douces rondeurs elle représente séduction et tentation, mais aussi dévouement et compréhension.
 
Le cérébral c’est la question. Pas de mimique, pas un regard, mais une pose.
L’homme, la femme, omniprésents, des êtres universels, contemplent leur propre image par le cœur et l’âme.
De ce dialogue naît l’œuvre ; de l’argile au bronze, matériaux nobles et durables, la beauté éternelle.
 
Fernand Bonneure, mars 1991.

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L’Exposition de novembre 2014 « Au hasard des rencontres » Galerie d’Art’bre

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Annie Renier  – Céramiques
 
Elle oriente son travail actuel en céramique vers un tour du monde animalier, d’un extrême à l’autre, avec, comme fil conducteur, un émerveillement pour des instants de vie de chaque individu.

Attirée depuis longtemps par le monde animal et sa sauvegarde, Annie Renier aime le représenter à sa façon. La céramique raku met en scène une colonie de manchots où chacun a sa personnalité, son unicité.

Des petits lézards aux gros éléphants, ils sont tous mis en valeur par la terre brute, colorée, cuite à haute température et rehaussées de touches d’émail noir.

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Anne-Marie Lepage  – Peintures, gouaches et photos
 
Réunion intime de ciel, mer et terre par la couleur.
Gouache ou acrylique sur papier et huile sur toile vous font voyager à travers la Baie de Somme ou dans des contrées au caractère particulier par leur couleur ou leur charme.
Les photos témoignent du passage des hommes et de ce que la nature laisse sur la plage après les grandes marées.