Exposition du mois de juillet 2016 à la Galerie d’Art’bre

Florence Mairesse 

De fond en comble est un travail pictural ou les espaces et les objets sont privilégiés, associés avec son ressenti, soit l’ambiance qu’ils peuvent créer.

 

Allant de la cave au grenier, c’est un travail sur les coins intimes d’une maison et ses objets. Objets du quotidien, usuels, oubliés, souvenirs, tous inanimés, ne perdant pas pour autant leurs possibilités poétiques.

«Objets inanimés avez-vous donc une âme ? » Lamartine

C’est un travail ou l’on retrouve aussi une certaine accumulation, ce qui oblige le regard à s’attarder sur la composition pour y distinguer chaque chose et la nommer alors que ces même objets communs passent inaperçu dans notre quotidien. C’est une sorte de remise en ordre du désordre. 

La palette de couleurs est choisie selon le ressenti du moment et n’est souvent pas le reflet de la réalité.

 

Bernard Mairesse 

Il met la figuration au service d’une expression que caractérise un climat  particulier, quasi envoûtant, dans lequel la fiction semble se dissoudre dans la réalité. Dans des décors peints avec une minutie extrême, les personnages jouent, de manière quelque peu théâtrale ,une partition dont le caractère symbolique est laissé à l’appréciation de chacun. On pourrait situer l’ensemble de ses œuvres comme une tentative de combiner un hyperréalisme feutré à un néo-symbolisme qui n’est pas tellement éloigné des préoccupations de  plus d’un artiste contemporain.

 

Huguette Mairesse

« J’ai beaucoup de plaisir et de bonheur à suivre ces cours, à peindre et à retrouver l’odeur de la térébenthine et de l’huile. C’est pour moi une grande détente et un moment d’expression exceptionnel. J’aime  peindre la nature, jouer avec la lumière et l’eau. J’adore les grandes étendues, les espaces libres, la mer, la montagne. J’aime essayer de donner une atmosphère et de rendre l’émotion qui m’habite devant l’immensité ».

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Exposition du mois de juin à la Galerie d’Art’bre « Régine Dulière »

Passionnée par le monde végétal dès son plus jeune âge, Régine Dulière a pratiqué l’art floral pendant plus de 40 ans.

Sans renier les compositions traditionnelles, elle s’est tournée petit à petit vers des réalisations de plus en plus structurées : jusqu’à faire le pas de se lancer dans la sculpture qu’elle étudie à l’académie des Beaux-arts à Namur.

Les matières végétales continuent à l’inspirer  et c’est dans ce domaine qu’elle trouve le plus souvent la possibilité de s’exprimer.

Morceaux de bois, tiges, écorces, algues… sont ses « matières premières » de prédilection qui lui permettent d’oser… 

 Un pas plus loin

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Exposition du mois de mai à la Galerie d’Art’bre

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Claudine Levêque, collages et peintures 

 

Elle se passionne pour l’architecture du sacré et son rapport parfois grave, parfois malicieux, avec l’humain, comme cette liberté conduisant le peuple sur le dôme d’une cathédrale ou des Ganeshs qui se jouent de l’œil qui les regarde.

La technique mélange les genres. A l’image de la vie. Sur une base de carton et de papier japonais marouflés sur bois, Claudine Levêque colle ce qu’elle glane le long de ses routes : du sable, des bribes de jute, de paillettes, de photos, du papier doré, texturé, soyeux, rugueux. Tantôt le pastel domine, tantôt l’huile ou encore l’acrylique. Les cartons débordent les cadres. Les papiers deviennent tissus ou gondolent comme s’ils étaient prêts à s’envoler. Tout est couleur et matière dans une joyeuse cacophonie qui transgresse les codes de l’unité de style.

L’œuvre inspire, réjouit et questionne ce que l’Homme dit de ses rêves, de ses joies, de ses peurs et de ses espérances.

 

Michèle Haenen, sculptures et céramiques

 

Depuis plusieurs années Michèle Haenen sculpte en autodidacte, elle travaille l’argile patinée et passe à la céramique suite à une très belle rencontre avec Bernadette Michaux et Bernard Pierre.

Continuellement en recherche elle garde son sujet de prédilection, l’humain et en particulier la femme.

Michèle Haenen aime les finitions rustiques sur des formes plus épurées.

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La Galerie est ouverte tous les samedis et dimanches de 14 à 18 heures et sur rendez-vous.

Exposition du mois de mars 2016 à la Galerie d’Art’bre

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Dominique MOSSERAY

 

Les sculptures de Dominique Mosseray ont été modelées à base d’argile, cuites à grès ou enfumées au bois.

Ses nouvelles créations sont empreintes à la fois de rondeur, de force, de douceur et de sensualité.

Elles laissent l’esprit vagabonder dans une perception intime de chaque pièce.

 

Dominique Mosseray est céramiste professionnelle depuis 30 ans, et en recherches perpétuelles, sa vie d’artisan et d’artiste est pour elle un long cheminement fait de rencontres, d’essais, de découvertes, de remises en questions, pour arriver un jour à l’œuvre ultime. Dans ce parcours, sa rencontre avec « l’arbre » sous la forme de baobabs est devenu une grâce, un véritable moyen d’expression perpétuel, il est source de vie et de mort, il permet d’exprimer à la fois les passions humaines et nous renvoie à l’universalité et à l’intemporel.

 

 

Rose-Marie NOË 

Rose-Marie Noë conçoit son travail plastique comme un long cheminement.

Après avoir réalisé une série de dessins surréalistes (1975-82) elle s’oriente vers le support textile.

De 1983 à 1997, elle crée ainsi  une série de patchworks de soies aux couleurs chatoyantes.

De 1997 à aujourd’hui, son art, de plus en plus épuré, évolue vers le graphisme, le monochrome et le relief, donnant naissance à un nouveau langage, une écriture particulière.

 

Les Bas-Reliefs monochromes présentés ici sont en soies sculptées par des cordages, au cœur desquelles sont insérées, parfois, des parties sculptées au couteau dans le polystyrène.

Ainsi  surgissent ces reliefs accrochant la lumière, comme des témoins d’une vie intérieure.

Alliant rigueur du dessin et beauté envoutante de la soie, ces Bas-Reliefs  deviennent  l’expression d’une démarche méditative sur la vie, la mort, l’impermanence.

 

« Dépouillement, sensualité, rêve, échappée vers un autre monde…

Cet antique matériau qu’est la soie trouve ici une expression pleinement contemporaine. »

(A.Gyre, 26-11-2011)

« Dire le plus avec le moins, créer un art très sobre et en même temps capable d’émouvoir, voici le pari réussi de Rose-Marie Noë. » (Presse-Musée, 6-2012)

 

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La Galerie est ouverte tous les samedis et dimanches de 14 à 18 heures et sur rendez-vous.

Exposition « Les dessous de Profondeville » & « Les champignons, Œuvres d’Art »

culture,

L’Office du Tourisme de Profondeville Entité et la commune de Profondeville ont le plaisir de vous inviter aux différentes manifestations qu’ils organisent au mois d’octobre 2015

 

•Vendredi 2 octobre 2015: inauguration de l’exposition  » Les dessous de Profondeville » et « Les Champignons, Œuvres d’Art ».
Le patrimoine souterrain de l’entité dévoilé à la galerie d’Arbre.
Les photographies des grottes profondevilloises de Gaëtan Rochez, les champignons en céramique raku de Nadine De Beys et les champignons en amadou de LHAM.
Vernissage de 18 à 21 heures
 
•Samedi 3 octobre 2015 à 14h: « Les journées de la spéléologie » – visite de la grotte Alexandre de Lustin réservée aux habitants de l’entité. Encadrement par le Groupe de Recherches et de Photographie en Spéléologie (GRPS).

  •Samedi 10 octobre 2015 : 13h30 – 18h00 – Vallée du Burnot et ruisseau de Besinne – Association    des richesses naturelles et vestiges d’un passé industriel – Guide: A. Despagne – 0479/662.440

•Samedi 17 octobre 2015 :  » Semaine des sentiers » de Sentier.be et Festival Nature Namur – Possibilité de faire ou refaire le sentier géologique et pédologique de Profondeville en compagnie de Vincent Hallet, concepteur de ce sentier unanimement apprécié.

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« Les champignons Œuvres d’Art »

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