Exposition « Les dessous de Profondeville » & « Les champignons, Œuvres d’Art »

culture,

L’Office du Tourisme de Profondeville Entité et la commune de Profondeville ont le plaisir de vous inviter aux différentes manifestations qu’ils organisent au mois d’octobre 2015

 

•Vendredi 2 octobre 2015: inauguration de l’exposition  » Les dessous de Profondeville » et « Les Champignons, Œuvres d’Art ».
Le patrimoine souterrain de l’entité dévoilé à la galerie d’Arbre.
Les photographies des grottes profondevilloises de Gaëtan Rochez, les champignons en céramique raku de Nadine De Beys et les champignons en amadou de LHAM.
Vernissage de 18 à 21 heures
 
•Samedi 3 octobre 2015 à 14h: « Les journées de la spéléologie » – visite de la grotte Alexandre de Lustin réservée aux habitants de l’entité. Encadrement par le Groupe de Recherches et de Photographie en Spéléologie (GRPS).

  •Samedi 10 octobre 2015 : 13h30 – 18h00 – Vallée du Burnot et ruisseau de Besinne – Association    des richesses naturelles et vestiges d’un passé industriel – Guide: A. Despagne – 0479/662.440

•Samedi 17 octobre 2015 :  » Semaine des sentiers » de Sentier.be et Festival Nature Namur – Possibilité de faire ou refaire le sentier géologique et pédologique de Profondeville en compagnie de Vincent Hallet, concepteur de ce sentier unanimement apprécié.

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« Les champignons Œuvres d’Art »

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Exposition du mois de juillet 2015 « Bestiaire et Nature »

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José Robert, sculpteur. 

J’ai quelque chose à vous dire…

Enfant, je cachais sous mon lit un morceau de bois devenu corbeau ou hibou. Je cachais également dans ma chambre, bien au chaud, dans un nid de mousse, la chouette que j’avais découverte au pied d’un pylône, à qui je croyais rendre vie.

Jeune adulte, j’appris à naturaliser tous ces animaux que mon grand-père évoquait lorsque nous étions dans les champs.

Le soir venu, j’ai imaginé pouvoir garder en vie, bien au delà de la mienne, tous ces êtres, courant ou volant, qui ont peuplé mes rêves d’enfant. Je leur donne désormais une éternité de bronze.

 

Pour des raisons de disponibilité, je n’ai pu réaliser ce rêve avant l’âge de la retraite.

Mais comment révéler un art animalier, en bronze de surcroît, si ce n’est par le travail de la cire perdue, de la fonte et du ciselage du métal ainsi que sa patine finale.

 
 
Marie-Noëlle Dumont, peintre. 
 
La chaleur des pigments naturels, la recherche de minéraux, d’infinie couleurs de terre.
Cette richesse infinie et naturelle me fascine et m’anime dans une recherche incessante depuis mon enfance.
 
Comment représenter notre terre, ses habitants et ce perpétuel mouvement de la Vie?
Changement de regard, modification d’angle, variations de rythme et de lumière.
Au fil du temps, mon travail de peintre matiériste prend des chemins multiples mais toujours en admirant et respectant mon environnement.
 
Certains me partagent… « Vue aérienne, simplicité. Allez à l’essen » Ciel »
d’autres m’écrivent… » Toute la sève de la vraie Vie! »…
Vers quel « humain » l’art nous conduit il?
 Merci  pour nos futurs échanges…

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« Permeke entre Père et Fils » Exposition de juin 2015 à Arbre (Belgique)

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Peter Permeke, peintre.
 
Né à Mortsel en 1965. Fils de Joopie Permeke, petit-fils de John-Henri Permeke et arrière petit-fils de Constant Permeke, Peter est imprégné par l’art depuis sa naissance. Difficile de se faire une place lorsqu’on s’inscrit dans une telle lignée.
 
La seule manière d’échapper à cet engrenage semble bien de rompre totalement avec le style de ses aïeux, de créer quelque chose qui se situe à mille lieux du comparable.
Ses marines sont les réceptacles d’émotions intenses qui vont de l’extrême tendresse à la violence orageuse.
 
Mais ce sont sans doute ses visages qui présentent la plus grande originalité et constituent la véritable expression du tempérament de Peter Permeke. Ils sont apparus à la suite d’une période d’isolement, témoins d’une certaine conception du monde, d’un certain regard sur l’autre et émergence d’un style nouveau et original. Même s’ils se rattachent à la veine expressionniste, les têtes de Permeke ont une puissance et une facture qui indiquent clairement leur appartenance à l’art actuel. Pour cette multitude de gros plans presque monochromes, aux traits épais et au masque d’abord agressif, il a puisé dans les physionomies d’ouvriers se rendant à l’usine. Fatigue, tristesse, enfermement, colère parfois décomposent les visages. Sa « tribu » s’est néanmoins adoucie au fil du temp. Il n’est pas rare d’y voir apparaître un sourire, ou au moins une expression de sérénité, d’étonnement ou d’indifférence. Exploitant l’impact du grand format, Peter Permeke s’est engagé dans la voie d’une peinture psychologique et symbolique, de plus en plus colorée. Une peinture qui traduit peut-être une vision plus optimiste de l’humanité, qui se pimente d’une pointe d’humour, mais n’en conserve pas moins sa clairvoyance.
 
 
Extrait d’un texte de Didier Paternoster « Artistes & Galeries » Éditions Art in Belgium – 5 ème Édition.

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James Permeke dit Joopie, sculpteur.

 

 
Né à Bruges en 1938. Fils de de John-Henri Permeke et petit-fils de Constant Permeke, le maître de Jabbeke, il s’est installé en Espagne pour s’y consacrer totalement à son œuvre.
 
Joopie Permeke accorde sa préférence à la figure dégagée, au groupes, la mère et l’enfant, mais surtout la femme dans son état le plus pur.
Grâce à la solidité et la force de la forme, la femme rayonne mystère et conviction. De gestes résolus elle s’impose dans l’univers, trace les limites en souveraine et maîtresse. Dans ses douces rondeurs elle représente séduction et tentation, mais aussi dévouement et compréhension.
 
Le cérébral c’est la question. Pas de mimique, pas un regard, mais une pose.
L’homme, la femme, omniprésents, des êtres universels, contemplent leur propre image par le cœur et l’âme.
De ce dialogue naît l’œuvre ; de l’argile au bronze, matériaux nobles et durables, la beauté éternelle.
 
Fernand Bonneure, mars 1991.

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Exposition en mai à la Galerie d’Art’bre du 9 au 31 mai 2015

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Laurence Burvenich

Agée d’une quarantaine d’années, cette jeune femme peintre développe un univers pictural personnel au départ de ceux qui lui sont proches. Ces corps nus semblent occupés par la pensée, saisis dans un environnement complètement dépouillé et abstrait, les personnages ne révèlent pas tant leur corps nu qu’ils nous questionnent sur leur âme, sur le mystère qui les habite.

Mais l’œuvre peint conduit à évoquer également une veine paysagiste que Laurence Burvenich développe dans un geste sûr et fluide, qui, par mimétisme, se présente tels des étirements horizontaux. Ce sont des évocations sensibles et harmonieuses où les arbres sont traités en sujets. Des paysages industriels, réalisés sur le motif, des paysages lointains de Grèce ou de La Réunion…

Du nu intimiste à l’espace ouvert du paysage, une unité et une permanence se dégagent.


Micheline Steffens

 

La technique élaborée par Micheline Steffens consiste à la création de céramiques par le colombin, sorte de boudin de terre, enroulé, afin de monter de hautes créations. Micheline a grandi à Bouffioulx, ville reconnue pour ses artisans céramistes. Elle a été baignée dans cette atmosphère et s’est lancée dans le domaine de la céramique en 1992, en s’inscrivant à l’Académie des Beaux-Arts de Châtelet.

Depuis quelques années, elle a opéré plusieurs essais et erreurs, dans la création de nouveaux émaux, dans la pratique du « Raku », dans la technique com

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plexe du colombin, dans l’enfumage et les patines. Elle développe toute un recherche de formes et de matières ; la porcelaine, le grès, les enfumages aux combustibles divers…

A l’heure actuelle, elle est reconnue en tant que personne ressource pour l’animation d’ateliers de céramique, elle est sélectionnée pour des foires d’artisanat de renom, et son atelier est toujours très actif dans le domaine de la recherche dans l’art de la céramique.

Au hasard des intuitions

 

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Exposition du 7 au 29 mars 2015

Vernissage le samedi 7 mars à partir de 11h.

Ouverture les samedis et dimanches
de 14h à 19h ou sur rendez-vous.
Entrée gratuite